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Mes entrees : le temps qui passe la nature la relation poete cherie

22 Oct Mes entrees : le temps qui passe la nature la relation poete cherie

Mes entrees : le temps qui passe la nature la relation poete cherie | Mesopotamia Lions Company

le temps qui passe

c’est 1 poeme orphique dans lequel le poete pleure la perte en femme aimee et regrette moyen ou il est a ses cotes. Le poeme va opposer l’ephemere et l’eternel, moyen de l’organisme et le temps mineral. Des la premiere strophe apparait cette opposition : « nuit eternelle », moyen reste donne par la metaphore « l’ocean des ages » et l’adjectif « eternelle », ainsi que l’adverbe hyperbolique « forcement ». Cela s’oppose au temps ephemere « un seul jour » (S 1). L’antithese « i  chaque fois » et « un seul jour » vient ouvrir et clore la strophe .

Cette premiere strophe met en place moyen qui passe trop vite Afin de l’homme et qu’il voudrait retenir ainsi que l’eternite d’la nature. Cela utilise, pour « marquer » le temps, des indices temporels « naturels », le champ lexical du temps, des temps libre verbaux, ainsi, des adverbes ou adjectifs de moment.

– Les indices « naturels » temporels : « l’annee » (strophe 2) « votre jour » (strophe 4), « les heures », « les gens des journees » (S 7), « la nuit », « l’Aurore » (strophe sept). On remarque des temps libre longs tels que «l’annee » et des temps courts tels que « l’Aurore » ou « l’heure ». Ce seront des marqueurs du cycle du temps.

– Le champ Lexical un moment : bien d’abord avec l’evocation aussi un moment lui meme ; la jeune femme s’adresse au temps avec le vocatif « O temps », Cela reste donc allegorise, de la aussi maniere elle s’adresse aussi aux heures « et vous heures propices ». Moyen est evoque a travers deux metaphores premierement la metaphore de l’eau qui revient dans le discours de Anna « coulez, coulez pour eux » et la metaphore de l’oiseau avec l’evocation du vol « suspend ton vol ». la metaphore de l’eau est utilisee des la strophe 1 via le poete : « l’ocean des ages » , « nouveaux rivages », «jeter l’ancre ».

– les adverbes et adjectifs temporels : qui vont la encore montrer des temps libre courts ou longs, rapides ou lents : « i  chaque fois », « jamais », « eternelle»(S1), « tout juste »(S2), « bien a coup »(S5), « rapides »(S6), « fugitive »(S9), « vitesse »(S10) i€ noter que les termes qui montre la rapidite du temps sont associes a l’epoque ou des amoureux etaient ensembles.

Mes moment verbaux : le temps apparait aussi dans l’utilisation des temps et de leur valeur.

On voit tout d’abord un present d’enonciation celui correspondant au present du poete « je viens » (S 2) et celui que l’on retrouve dans la parole rapportee au look direct de Anna « je demande », « je dis » (S 8), mais aussi un present de verite generale Afin de imager la fuite un moment « l’homme n’a point de port , le temps n’a point de rive »(S1). On trouve aussi un futur mais qui evoque a chaque fois une fatalite douloureuse. « Ne pourrons-nous jamais « (S1); « ne nous les rendra plus »(S11). Cela utilise aussi des temps libre du passe principalement l’imparfait Afin de decrire le temps ou il est avec Julie Charles «on entendait au loin »(S4) mais aussi et ce qui est plus surprenant, le passe compose dans le soir par du poeme « ils ont aime » qui semblent montrer que l’amour reste fini. I€ noter que les verbes qui parlent du temps paraissent tous des verbes de mouvement qui traduisent ainsi l’impossibilite d’arreter moyen : « emportes » (S 1), « coulez » (S 7), « m’echappe et fuit » (S 8), « nous passons » « s’envolent » (S 10).

Notre nature chez des romantiques a une importance capitale . Elle reste a la fois le refuge, la confidente, le miroir des emotions du poete. Dans les faits dans votre poeme Lamartine se refugie dans votre nature qui avait accueilli ses amours et qui maintenant l’accueille avec ses souvenirs

– Sans compter que la nature devient le refuge du poete « s’asseoir concernant votre pierre » c’est vraiment totalement entoure accueilli par la nature « les flots » (strophe 2), « les roches » (strophe 3). Puis « coteaux », « sapin » (strophe 14) et donc une description une nature qui l’entoure et cette nature apparait a travers les divers sens du poete : la vue donnee par les differentes descriptions et les couleurs telles que « front d’argent qui blanchit a surface » (strophe rencontres de 30 ans mГЁme 15), l’odorat « parfum leger » (strophe 16) le toucher « l’ecume de tes ondes sur ses pieds adores » (strophe 3) ou enfin l’ouie « les trucs de tes bords partaient bords repetes » (strophe 15)

– . Des J’ai strophe 2 le poete personnifie le lac avec le vocatif « O lac ». La personnification sert au poete Afin de se confier il s’adresse ainsi a la nature comme a une amie ainsi « regarde » (strophe 2), « t’en souvient-il » (strophe 4). I€ noter que le poete tutoie la nature, il partage avec i§a ses souvenirs « tu la vis asseoir ». On va pouvoir se rendre compte que non juste y partage ses souvenirs avec la nature mais il lui demande outre devenir la gardienne des souvenirs ! la nature doit garder l’empreinte de leur amour. « Gardez, belle nature, au moins le souvenir ! »

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